« Saturday night fever » au Palais des Sports : Nous y étions !

    Saturday Night Fever JustMusic.fr

    Depuis le 9 février, toute la troupe de « Saturday night fever » vous donne rendez-vous au Palais des Sports de Paris !

    Ce spectacle musical raconte l’histoire du beau Tony et de ses amis (Annette, Bobby…) dans les années disco. Nicolas Archambault interprète le rôle de ce héros qui tombe sous le charme de la sublime et mystérieuse Stéphanie (Fauve Hautot). On retrouve aussi Gwendal Marimoutou dans le rôle du sympathique DJ, ainsi que le talentueux trio (Stephan Rizon, Nevedya et Flo Malley) qui nous fait vibrer avec les différents tubes extraits du spectacle.

    « Stayin’ alive », « Night fever », « If I can’t have you » ou encore « You should be dancing », tous ces incontournables sont d’ailleurs disponibles sur l’album que vous pouvez retrouver dans les bacs et sur iTunes.

    La mise en scène de Stéphane Jarny et la scénographie de Stéphane Roy sont sublimées par tous les fabuleux danseurs (Jonathan Jenvrin, Alexandra Trovato, Andrea Condorelli, Stessy Emelie…) qui mettent le feu sur la piste de danse de la discothèque « l’Odyssée ».

    Les histoires de famille, les soucis d’argent, les potes, la danse, la compétition… et l’amour ! Le spectacle nous parle de sujets réels et forts avec de l’humour et bien entendu en musique. Grâce à la vidéo-projection on se croit vraiment dans les rues de Brooklyn et on se laisse transporter par les différents personnages. On rit, on pleure, on chante et on danse durant tout le spectacle (un cours est même donné après l’entracte).

    Nous vous conseillons vivement de venir applaudir cette magnifique troupe, afin d’admirer les chorégraphies et de faire plaisir à vos oreilles avec le talent du trio. Nicolas et Fauve forment un très beau couple et ils vont vous en mettre plein la vue !

    Vous avez jusqu’à la fin du mois d’avril avant de les retrouver en tournée à travers toute la France !

    Pour revoir le clip du single « If I can’t have you » interprété par Jess Glynne :