Louis Arlette a sorti son premier EP « Le bruit blanc » le 14 septembre. Passionné depuis l’enfance de littérature et d’écriture, il se met à nu dans ses textes dont la force et la musicalité sont magnifiées par le chant et la richesse sonore d’une orchestration étonnante.
En plus du violon et des claviers, il fait appel à une panoplie d’instruments et d’outils singuliers : le Waterphone, le Glassharmonica, le Fender Rhodes ou encore le magnéto à bandes.
La pop de Louis est un mélange de deux mondes, celui d’un savoir-faire vintage : il s’accompagne d’un matériel d’époque, un authentique Rhodes de 1979, mais définitivement ancré aussi dans son époque par ces habillages électroniques qu’il envoie entre deux phrases.
« J’aimerais surtout réussir à réunir divers univers dans ma chanson française, rassembler les références culturelles littéraires ou musicales mais également expérimentales qui m’ont marqué. Proposer une chanson française différente car personnifiée. »
Découvrez le clip de « Jeux d’or » :